Résumé : |
Des troubles cognitifs peuvent émailler dès le début de Parkinson. Le diagnostic repose sur une sélection des tests neuropsychologiques. Les investigations paracliniques ont peu de place en routine, en dehors de l'imagerie par résonance magnétique (IRM), à la recherche de lésions vasculaires associées, facteur contributif ou aggravant. S'il n'y a pas de traitement majeur, pharmacologique ou non, la correction des facteurs de risque vasculaire, un accompagnement neuropsychologique et une gestion de l'environnement s'avèrent indispensables. |