Résumé : |
La transmission de la violence dans l'éducation résulte souvent de normes héritées et rarement remises en question, qui limitent la capacité des enfants à échapper à ces modèles. En minimisant nos propres expériences de violence, nous rendons celles-ci plus acceptables et entretenons des comportements d'évitement, que les enfants imitent à leur tour. L'éducation des adultes, marquée par des confusions entre autorité et violence, alimente ce cycle, créant une société où la domination des enfants par les adultes est non seulement courante, mais perçue comme légitime.
Pour contrer cette dynamique, il est essentiel de favoriser des espaces relationnels respectueux, inspirés d'approches comme l'écoute active et la communication non-violente, qui encouragent des interactions basées sur l'authenticité, le respect mutuel et l'écoute de nos propres émotions. |