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Toutes les classes de Nutri-Score ont leur place dans des diètes nutritionnellement adéquates in Cahiers de nutrition et de diététique, 1 volume 58 (février 2023)
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Titre : Toutes les classes de Nutri-Score ont leur place dans des diètes nutritionnellement adéquates Titre original : All Nutri-Score classes can fit in nutritionally adequate diets Type de document : texte imprimé Année : 2023 Article : p. 16-28
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 58 (février 2023)Descripteurs : information du consommateur / nutrition Résumé : L’algorithme du Nutri-Score vise à donner une information simplifiée sur la qualité nutritionnelle des aliments. L’objectif de ce travail était de quantifier la répartition des classes de Nutri-Score dans des diètes nutritionnellement adéquates. Pour chaque individu de l’étude INCA2, une diète optimisée a été simulée par programmation linéaire respectant un ensemble de recommandations nutritionnelles. La contribution des classes de Nutri-Score en nombre de portions par jour (p/j) a été estimée dans les diètes optimisées ainsi que les variations des contributions par rapport aux diètes observées. Dans les diètes optimisées, la contribution des aliments A était la plus élevée (9,8 p/j), et celle des aliments E était la plus faible (1,1 p/j) mais les contributions des classes intermédiaires n’étaient pas systématiquement décroissantes de la classe B à D. En moyenne, l’atteinte de l’adéquation nutritionnelle nécessitait une augmentation de la classe A (+3,9 p/j) et une diminution des classes D et E (−1,2 et −1,5 p/j respectivement) alors que les classes B et C restaient stables mais ces variations moyennes étaient caractérisées par une forte variabilité inter-individuelle. Toutes les classes de Nutri-Score peuvent être consommées dans une diète équilibrée. Nature du document : documentaire [article]Le plaisir comme levier pour améliorer les comportements lors du goûter chez les enfants / Delphine Poquet in Cahiers de nutrition et de diététique, 1 volume 58 (février 2023)
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Titre : Le plaisir comme levier pour améliorer les comportements lors du goûter chez les enfants Titre original : Pleasure as a lever to improve children's behaviour during mid-afternoon snack Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Poquet, Auteur ; Sylvie Issanchou, Auteur ; Sandrine Monnery-Patris, Auteur Année : 2023 Article : p. 29-36
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 58 (février 2023)Descripteurs : comportement alimentaire / plaisir Résumé : Chez les enfants français, le goûter est une habitude fréquente qui se caractérise par la consommation d’aliments de faible qualité nutritionnelle et de haute densité énergétique. Si les comportements alimentaires peuvent évoluer tout au long de la vie, ils sont déjà fortement établis dès l’enfance. Dans ce contexte, identifier les stratégies les plus efficaces pour améliorer les habitudes alimentaires des enfants au moment du goûter semble primordial. Une stratégie utilisée pour modifier favorablement les comportements alimentaires consiste à informer sur la composition nutritionnelle d’un aliment ou sur ses bénéfices sur la santé. Toutefois, face aux résultats contrastés de l’effet des informations nutritionnelles ou santé sur les comportements alimentaires des enfants, des alternatives innovantes basées sur le plaisir alimentaire ont vu le jour. Cet article ambitionne de présenter des exemples de différents types de leviers (nutritionnel et hédonique) visant à modifier les dimensions qualitatives (choix et/ou préférences) et quantitatives (taille des portions, énergie consommée) des choix et/ou des consommations des enfants lors de goûters. Nature du document : documentaire [article]Les fruits et légumes "biologiques" sont-ils de qualité supérieure et meilleurs pour notre santé ? / Marie-Josèphe Amiot-Carlin in Cahiers de nutrition et de diététique, 1 volume 58 (février 2023)
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Titre : Les fruits et légumes "biologiques" sont-ils de qualité supérieure et meilleurs pour notre santé ? Titre original : Are organic fruits and vegetables of higher quality and better for health ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Josèphe Amiot-Carlin, Auteur Année : 2023 Article : p. 45-52
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 58 (février 2023)Descripteurs : agriculture biologique / alimentation Tags : aliment biologique qualité alimentaire Résumé : Les aliments biologiques ont connu un important développement au cours de la dernière décennie. L’objectif de cette revue de la littérature est de présenter les motivations et les perceptions des consommateurs d’aliments biologiques, notamment les fruits et légumes, et d’examiner les qualités nutritionnelles et sanitaires de ces produits ainsi que les conséquences de leur consommation sur la santé. Les aliments biologiques convainquent les consommateurs qu’ils sont plus sains, plus savoureux et meilleurs pour l’environnement. Les différences sensorielles ne sont cependant pas toujours perçues entre fruits ou légumes biologiques et conventionnels, et les préférences peuvent aller vers les produits biologiques ou conventionnels. Les fruits et légumes biologiques se caractérisent par des teneurs légèrement plus élevées en polyphénols et en vitamine C, en certains minéraux (fer, magnésium) et par des niveaux plus faibles de résidus de pesticides. En revanche, les données sur les mycotoxines et les allergènes ne convergent pas toujours vers une meilleure qualité des produits biologiques. Les études cliniques sur la consommation de fruits et légumes biologiques ne montrent pas d’effets positifs sur les biomarqueurs antioxydants plasmatiques, les triglycérides, le cholestérol ou la glycémie. Une consommation accrue de fruits et légumes conventionnels augmente significativement l’exposition aux insecticides et aux organophosphates. Le passage à une consommation accrue d’aliments biologiques dans le cadre d’un régime de style méditerranéen riche en fruits et légumes réduirait l’exposition totale aux pesticides de plus de 90 %, ce qui pourrait expliquer certains des résultats positifs pour la santé associés à la consommation d’aliments biologiques rapportés dans des études d’observation. Les pratiques culinaires, notamment l’épluchage et le blanchiment, réduiraient également l’exposition aux pesticides, fortement recommandée dans les périodes de grossesse et petite enfance. D’autres études sont nécessaires pour fournir les preuves d’effets positifs suggérés des fruits et légumes biologiques sur différentes cibles de santé. Nature du document : documentaire [article]L’engraissement des bovins avec des rations à base d’herbe améliore la qualité nutritionnelle des acides gras de leur viande / Jérôme Normand in Cahiers de nutrition et de diététique, 1 volume 58 (février 2023)
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Titre : L’engraissement des bovins avec des rations à base d’herbe améliore la qualité nutritionnelle des acides gras de leur viande Titre original : Fattening cattle with grass-based diets improves the nutritional quality of fatty acids in beef Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Normand, Auteur ; Dominique Gruffat, Auteur Année : 2023 Article : p. 53-69
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 58 (février 2023)Descripteurs : boeuf / viande de boucherie Résumé : L’utilisation d’herbe dans la ration des bovins améliore la composition de la fraction lipidique de leur viande. En effet, par rapport à la viande de bovins finis à l’auge (ensilage de maïs ou concentré), celle d’animaux finis au pâturage contient des teneurs en lipides plus faibles et des proportions plus importantes en 18:3 n-3, EPA, DHA et CLA, acides gras (AG) connus pour leurs propriétés bénéfiques pour la santé humaine. L’herbe conservée sous forme d’ensilage a un impact légèrement plus faible sur les teneurs en acides gras polyinsaturés n-3 (AGPI n-3) de la viande que l’herbe fraiche. La complémentation au pâturage avec du concentré ou une finition à l’auge avec de l’ensilage de maïs ou du concentré après une période de pâturage conduisent à une viande un peu plus grasse et moins riche en AGPI n-3 qu’avec une finition uniquement à base de pâturage. Les antioxydants de l’herbe protègent les AGPI n-3 de la viande des phénomènes d’oxydation. Une portion de 100 g de viande bovine (noix d’entrecôte) contribue assez peu aux apports en lipides totaux et AG (moins de 6 % des différents Apports Nutritionnels Conseillés). Les apports en AGPI n-3 d’une viande issue d’animaux finis au pâturage sont deux fois plus importants que ceux d’une viande issue d’animaux finis à l’auge. Nature du document : documentaire [article]Interactions du dioxyde de titane alimentaire avec l’axe microbiote-système immunitaire : un nouvel acteur dans le développement de désordres métaboliques ? / Bruno Lamas in Cahiers de nutrition et de diététique, 1 volume 58 (février 2023)
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Titre : Interactions du dioxyde de titane alimentaire avec l’axe microbiote-système immunitaire : un nouvel acteur dans le développement de désordres métaboliques ? Titre original : Interactions of food-grade titanium dioxide with the microbiota-immune system axis: A new actor in the development of metabolic disorders ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Lamas, Auteur ; Lauris Évariste, Auteur ; Eric Houdeau, Auteur Année : 2023 Article : p. 70-81
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 58 (février 2023)Descripteurs : additif alimentaire / alimentation / système immunitaire Tags : nanotechnologie Résumé : L’utilisation croissante de nanomatériaux dans le secteur agro-alimentaire a pour conséquence une exposition chronique du tractus gastro-intestinal à des nanoparticules (NPs) inorganiques souvent dotées de propriétés biocides. Parmi celles-ci, les NPs de dioxyde de titane (TiO2) de l’additif alimentaire E171 sont susceptibles d’altérer la composition et l’activité du microbiote intestinal avec des conséquences sur la réponse immune. De manière réciproque, les interactions directes du TiO2 avec les cellules du système immunitaire intestinal peuvent moduler le microbiote. Des altérations de l’axe microbiote-système immunitaire sont associées à de nombreuses maladies chroniques comme le diabète et l’obésité. Ainsi, l’exposition chronique au TiO2 alimentaire interroge sur la capacité de ces NPs à induire ou aggraver ces maladies. Dans cette revue, les interactions entre le TiO2, le microbiote et le système immunitaire sont détaillées et comparées aux altérations du microbiote et à l’inflammation intestinale retrouvées chez des patients obèses ou diabétiques. Cette comparaison permet d’identifier de potentiels nouveaux mécanismes le long de l’axe microbiote-système immunitaire par lesquels le TiO2 pourrait contribuer au développement de désordres métaboliques. Nature du document : documentaire [article]