| Résumé : |
Historiquement, les pleurs ont souvent été perçus négativement, considérés comme un signe de possession ou d'excès d'indulgence. Aujourd'hui encore, certains manuels recommandent l'ignorance ou la punition des pleurs, et les professionnels réagissent de manière hétérogène, souvent en cherchant à les arrêter rapidement.
Pourtant, on reconnaît certains bienfaits aux pleurs : pleurer permet d'éliminer des toxines dues au stress et régule la tension artérielle et le rythme cardiaque. Les pleurs aident également l'enfant à atteindre un équilibre émotionnel et relationnel, renforcement l'attachement avec l'adulte présent.
Dans certains hôpitaux de jour, comme celui où travaille Anita Dip, les enfants sont autorisés à pleurer pour évacuer leur stress. Les professionnels n'essaient pas de les apaiser immédiatement mais restent présents pour offrir une sécurité émotionnelle.
Par ailleurs, les parents doivent apprendre à accepter et comprendre les pleurs de leur enfant. Leur soutien psychologique, notamment pour les aider à gérer leurs propres émotions, est essentiel pour renforcer l'attachement et la relation parents-enfants. |
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheBienvenue en famille recomposée in Phosphore, 586 (15 novembre 2024)
