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Comment concilier les enjeux nutritionnels et environnementaux de l’alimentation en divisant par deux les quantités de viande consommées en moyenne par les adultes en France ? in Cahiers de nutrition et de diététique, 6 volume 59 (décembre 2024)
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Titre : Comment concilier les enjeux nutritionnels et environnementaux de l’alimentation en divisant par deux les quantités de viande consommées en moyenne par les adultes en France ? Titre original : How to conciliate nutritional and environmental targets of adult diet in France while halving current meat consumption? Type de document : texte imprimé Année : 2024 Article : p. 335-348
in Cahiers de nutrition et de diététique > 6 volume 59 (décembre 2024)Descripteurs : alimentation / consommation des ménages / développement durable / France / viande de boucherie Tags : transition écologique Résumé : Pour faciliter la transition écologique, des prospectives préconisent de réduire de 50 % la consommation de viande en France. Cette étude identifie les changements alimentaires minimums requis, en plus de diviser par deux l’ensemble des viandes (dont volaille et charcuterie), pour réduire l’impact carbone de l’alimentation (IC-a) sans dégrader d’autres impacts environnementaux tout en respectant un ensemble de recommandations nutritionnelles. Partant des consommations moyennes des adultes de l’enquête INCA3, 10 diètes ont été modélisées. Les résultats montrent qu’il est possible d’atteindre l’adéquation nutritionnelle avec 2 fois moins de viande qu’aujourd’hui (62 vs 124 g/j), sans supplémentation ni aliments enrichis, tout en réduisant fortement l’IC-a (jusqu’à 50 %). La diète modélisée la moins éloignée des consommations actuelles, avait un IC-a réduit de 35 %, incluait de la viande (hors charcuterie), du poisson ou des œufs environ 1 fois par jour, 3 produits laitiers par jour, une abondance de végétaux non raffinés et peu transformés (70 % du poids solide, dont 65 g/j de légumineuses et 30 g/j de fruits à coques), 2,5 fois moins de produits gras, sucrés et/ou salés. Cette diète, conciliant enjeux nutritionnels et environnementaux de l’alimentation, serait aussi moins coûteuse (réduction de 10 %). Nature du document : documentaire [article]Épaule d'agneau pour toutes les envies in Saveurs, 313 (avril 2025)
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Titre : Épaule d'agneau pour toutes les envies Type de document : texte imprimé Année : 2025 Article : p. 48-53
in Saveurs > 313 (avril 2025)Descripteurs : mouton / recette culinaire / viande de boucherie Résumé : Recette d'épaule d'agneau Nature du document : documentaire [article]Le rôti sort son grand jeu in Saveurs, 304 (mai 2024)
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Titre : Le rôti sort son grand jeu Type de document : texte imprimé Année : 2024 Article : P. 26-35
in Saveurs > 304 (mai 2024)Descripteurs : recette culinaire / viande de boucherie Résumé : Recettes de rôtis Nature du document : documentaire [article]La viande cultivée. Réhumaniser nos relations aux animaux de ferme ? / Jocelyne Porcher in Cahiers de nutrition et de diététique, 3 volume 59 (juin 2024)
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Titre : La viande cultivée. Réhumaniser nos relations aux animaux de ferme ? Titre original : Cultured meat. Rehumanizing our relationship with farm animals? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jocelyne Porcher, Auteur Année : 2024 Article : p. 194-200
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 59 (juin 2024)Descripteurs : élevage / industrie agroalimentaire / viande de boucherie Tags : viande de culture Résumé : Les promoteurs de la viande cultivée, start-up, fondations ou défenseurs des animaux, se réjouissent de l’émergence de cette innovation et en soulignent le caractère réhumanisant. En considérant que la viande cultivée s’inscrit dans le droit fil de l’industrialisation de l’élevage, on peut avancer au contraire qu’elle clôture le processus de transformation du travail vivant avec les animaux en travail mort, déshumanisé. La permanence de la violence industrielle envers les animaux, en dépit de trente ans de travaux scientifiques et d’activités associatives sur le "bien-être animal" conduit des citoyens à rejeter tout rapport de travail avec les animaux de ferme, à défendre une agriculture sans élevage et à soutenir l’agriculture cellulaire. Les animalistes, en affirmant que la viande sortie d’incubateurs est exactement la même que celle qui constitue le corps des vaches, sauf qu’elle grossit en dehors de l’animal, témoignent qu’ils préfèrent appuyer l’industrie biotechnologique de la viande plutôt que les animaux. Car s’il n’y a pas de mort dans la viande cultivée, c’est qu’il n’y a pas de vie. On peut s’interroger toutefois sur ce que produira la viande cultivée en tant que nourriture et à quel monde humain elle participera. Nature du document : documentaire [article]