Catégorie insuline
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Qui étaient Charles Best & James Collip ? (1/2) / Camille Van Belle in Science & vie junior, 390 (mars 2022)
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Titre : Qui étaient Charles Best & James Collip ? (1/2) : Trou de mémoire : Les oublié(e)s de la science Type de document : texte imprimé Auteurs : Camille Van Belle, Auteur Année : 2022 Article : p. 75
in Science & vie junior > 390 (mars 2022)Descripteurs : diabète / insuline / scientifique Résumé : Brève biographie en bande dessinée de Charles Best et James Collip,à qui on doit la découverte de l'insuline. Nature du document : documentaire [article]Qui étaient Charles Best et James Collip ? (2/2) / Camille Van Belle in Science & vie junior, 391 (avril 2022)
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Titre : Qui étaient Charles Best et James Collip ? (2/2) Type de document : texte imprimé Auteurs : Camille Van Belle, Auteur Année : 2022 Article : p. 77
in Science & vie junior > 391 (avril 2022)Descripteurs : diabète / insuline / scientifique Résumé : Découverte du remède au diabète de type 1 et mise au point de l'extrait d'insuline par Charles Best et James Collip, dont les directeurs de laboratoires reçurent le prix Nobel. Nature du document : documentaire [article]Régimes hyperlipidiques et dépression in Cahiers de nutrition et de diététique, 6 volume 57 (décembre 2022)
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Titre : Régimes hyperlipidiques et dépression Titre original : Hyperlipidic diets and depression Type de document : texte imprimé Année : 2022 Article : p. 384-397
in Cahiers de nutrition et de diététique > 6 volume 57 (décembre 2022)Descripteurs : diabète / état dépressif / insuline / obésité Tags : Monoamines Résumé : La dépression majeure (DM) est une pathologie psychiatrique reposant sur différents mécanismes neurobiologiques. Parmi ces mécanismes, on trouve une hypersensibilité de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien et des modifications de différents processus de type inflammation et stress oxydatif. Différents arguments suggèrent que ces mécanismes conduisent à un déficit de neurotransmission monoaminergique. En particulier, la dépression majeure résulterait d’un manque de sérotonine (5-HT) dans le cerveau. Des données de plus en plus nombreuses montrent que les patients atteints de diabète de type 1 ou de type 2 sont plus prompts à développer des troubles de l’humeur que les patients non diabétiques. Ces données épidémiologiques sont confortées par des travaux menés dans différents modèles animaux présentant un défaut de signalisation de l’insuline (exposition à des substances cytotoxiques sur les cellules pancréatiques ou à des régimes hyperlipidiques) à l’origine d'états pseudo-dépressifs. Cet article récapitule les évidences démontrant le lien entre les troubles métaboliques et psychiatriques. Il présente les différentes hypothèses mécanistiques pouvant expliquer cette comorbidité. Enfin, il ouvre la voie à de nouvelles pistes thérapeutiques qui consisteraient à utiliser les antidiabétiques oraux seuls ou en association avec les antidépresseurs pour une prise en charge optimale de la DM. Nature du document : documentaire [article]