Résumé : |
Deux secteurs d'activité relatifs aux extrémités de la vie (grand âge et petite enfance) sont soumis depuis plusieurs années à une dérégulation impliquant ouverture à la concurrence et course à la rentabilité. Conséquences : burn-out, turn-over, maltraitance, sur-occupation des places, mais aussi baisse de la qualité de service à l'encontre des usagers. Une politique commune offensive et lune loi du silence imposée au personnel protègent les acteurs de ces nouveaux marchés des dérives constatées sans que les organismes de contrôle ne puissent neutraliser les connivences entre secteur marchand et monde politique. Reste l'opinion publique et la parole des familles comme contrepouvoir. |